Il y a mille définitions de la culture d’entreprise. Faute de mieux (« tout les modèles sont faux, certains sont utiles ») je reviens souvent vers la définition de celui qui a le premier employé le terme de Corporate Culture : Edgar Schein

[EN]. Définition adoubée parClayton Christensen ou Jeffrey Liker : nous en contenterons ici.

Un ensemble d’hypothèses fondamentales communes, construites par un groupe alors qu’il a résout ses problèmes d’adaptation externe et d’intégration interne ( … ). Le produit d’un en commun.

 Le deuxième point est, là encore, celui de la confrontation avec la réalité, en l’occurence celle du et du terrain. Comme toute grande initiative de transformation, si le dirigeant ne l’a prend pas en main, la sous-traite à des consultants et ne montre l’exemple en utilisant ces outils, la transformation restera lettre morte. Cela passe aussi par unepratique de dirigeant consistant à se rendre sur le terrain pour constater au plus près de là où se crée la valeur, comment se décline ses visions et stratégies, dans l’espace numérique. L’objectif est aussi de comprendre les obstacles qui empêchent ses équipes de réussir. Dans le lean, cette pratique vertueuse se nomme le Go & See ou le Gemba.

Le leadership est central dans cette phase de transition. Même si tous les employés sont impactés, c’est à la direction de donner la vision pour qu’elle soit partagée par tous.

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